Rencontre avec une future éléves ( pv.Kaorii Kotori)

Une journée de libre et un grand soleil quoi demander de plus hein et donc en cette journée de repos et donc je décidai de sortir hors de l’école et pouvoir prendre l’air loin des cours et du stresse. Je pris donc ma guitare et un cahier un stylo et me voila parti pour ma journée de repos je sortir rapidement de l’école sous quelque salut des élèves que j’avais en cours.

Apres un marche a pieds j arrive dans un petite parc et chercha un endroit un isole du monde qui était en masse en cette journée ensoleiller et je fini par trouver un coin plutôt isole et l’ombre d’un arbre un cerisier pour être précis er on pouvait de t en a autre de pétale de tombe autour de l’arbre. Je me calai contre son tronc et sorti délicatement mon guitare de son étui et fit les vérifications d’usage pour vérifier qu’elle désaccorder ou que les corde soit abimer et première vu tout semblai parfait et donc commencer a jouer quelque accord laissant mes doigt glisser le long des corde et mon esprit quand a lui vagabonda grés de la musique.Je repensait a l'époque ou mon groupe route L exitais encore et que la musique était vraiment présente dans ma vie e qu'il cette coupure de plusieurs année avant de reprend et cette fois d enseigner cette passion .J'été tellement plongée dans ma musique a chantonne a voix basse presque en murmurant que je ne remarqua que une jeune fille venait vers moi.

Pour ma première semaine, j'étais pas mal. Les cours ne commençaient pas tout de suite, j'avais donc quartier libre. Qu'allais-je faire de tout se temps libre? Je ne connaissais encore personnes sauf Hitomi. Je ne savait pas ou aller et me dirigea donc a pied vers la ville. Je ne connaissais pas les endroits chics, ni les endroits calme. Je n'avais pas pensée a prendre de plan avec moi car j'étais partie sur un coup de tête, sans parapluie, ni veste. J'étais en jean's et débardeur.

La chaleur n'était pas celle d'un été, mais la soleil frappait assez fort pour ma peau brûle au niveau de mon tatouage. Je plaça donc une main à l'endroit précis de ma brûlure et continua ma marche dans la ville. Au bout d'un moment je tomba sur un cul de sac. Je fis donc demi-tour et balançais mon regard de droite à gauche. Pour tomber sur un chemin se divisant en deux, je lis les panneaux et découvrit le parc, ainsi que le retour a la case départ. Depuis combien de temps n'étais-je pas parti dans un parc? Dieu seul la savait! Je ne me rappelais même plus de mes sorties en famille. A vrai dire, j'étais toujours en deuil. En deuil pour la perte de ma mère. Celle qui a épargner ma vie, celle qui m'a offert ce cadeau, cette nouvelle maison si vibrante et joyeuse. Et surtout, celle qui m'a offerte la vie. Pour moi la vie est un cadeau.

Je regarda les cerisiers qui étaient toujours en fleur malgrés la saison, et, qui bizarrement commençaient seulement a perdre leurs pétales. J'étais emerveiller d'une telle chose. Etait-ce du au réchauffement climatique? Certainement! Les humains avaient tout simplement tuer la Terre, notre mère à tous. Tout cela, pour de la simple monnaie. Quel gâchit! Je marcha les mains dans les poches de mon jean's, les écouteurs dans mes oreilles avec le son au minimum. Je voulais entendre à la fois ma musique et le chant des oiseaux qui était rester ici. Les plus courageux.

Jusqu'à ce qu'une mélodie me fis retirer mes écouteurs et oublier le sublime chant de ces petits êtres volant. Mon coeur battait au rythme de la musique, la voix me donnais des frissons et mon cerveau c'était déconnecter. En réalité, cette chanson me disais quelque chose. Mon frère! C'est lui qui me l'avais fait connaître... Un instant, je pensais qu'il n'avait jamais été assassiner. Je me mise a courir jusqu'à voir le visage du jeune homme qui chantait et jouait la musique. Mes jambes s'arrêtèrent et des larmes me montèrent aux yeux. Comment avais-je pu être aussi stupide et faible? Jamais il ne reviendra. Jamais! J'essuya mes larmes d'un revers de main et avança vers la personne. Ces traits me disais quelque chose. Il ressemblait au professeur de mus... Mais oui! C'était bien lui.

Quand il me regarda, je lui adressa un sourire et me mise a le détailler. Il était toujours entourer et je ne pouvais jamais l'approcher. Son visage était fin, ces cheveux brillait sous les rayons du soleil. Son blond lui allait tellement bien... Sa bouche fine, son nez tout aussi fin. J'avais l'impression lors de cet instant qu'il était parfait! Mais je me reprise bien vite en voyant que je le fixait ainsi depuis un moment. Je me racla la gorges et m'assise en face de lui, un peu à l'écart.

-Bonjour professeur Wakaouji. Désolée de vous déranger un jour de congé. Mais votre musique était tellement... Belle, que mon instinct m'a faite venir ici.

Je souris timidement et rajouta :

-J'espère ne pas vous déranger. Sinon, dite le moi et je repartirais de ce pas.

Alors que je continuai de jouer de la guitare chantant un peu forte une jeune fille arriva elle était en larmes je fixai un moment son visage m’était familier je me demandais ou j’avais pu la voir ou rencontrer et alors que je continuai de jouer de la guitare je m arrête de chanter afin de pouvoir réfléchir ou j’avais pu la rencontrer et âpres longuement cogiter je me rappelai avoir vu son dossier dans le bureau des professeur elle venait arriver elle se nommais Kaji Kotori je me rappelai bien. Je la vis sécher ses larmes quand je m’étais à la regarder et a son tour elle me détailla sans rien dire et âpres un long moment de silence elle racla la gorge et alla s’assoir en face pour mais en restant a l écart et fini par me dire.

-Bonjour professeur Wakaouji. Désolée de vous déranger un jour de congé. Mais votre musique était tellement... Belle, que mon instinct m'a faite venir ici.

Et elle rajouta.

-J'espère ne pas vous déranger. Sinon, dite le moi et je repartirais de ce pas.

Je lui sourie et arrêta de jouer de la guitare laissant mourir si puisse dire les dernière note de musique de ma guitare avant de lui répondre.

-Bonjour mademoiselle Kaji et non vous me déranger au contraire ca me permettra de vous connaitre hors de l’école. J’ai remarque que semblais assez sensible la musique que je jouais je me trompe peut-être.

Je lu sourie posant ma guitare sur étui qui était à coter de moi et fixa la jeune fille pour attendre une réaction de sa part.

Au moment ou je m'arrêta de parler, la musique commença a mourir dans mes tympans. Il avait remarquer que sa chanson m'avais fait un choc émotionnel. Je le regarda poser sa guitare sur son étui et lui rendit son sourire. Je passa ma main dans mes cheveux et soupira. Je n'aimais pas me rappeler de mon passé. Mais la musique elle, me le rappelait sans cesse, comme ci ce que je voulais régner me hantais. La musique permettait de s'évader mais pas seulement... Malheureusement elle pouvait être positive comme négative.

-Je vois professeur. Oui, en effet.... Votre chanson est tellement émouvante qu'elle m'en a donner les larmes aux yeux. Vous êtes un excellent chanteur et guitariste. Vous savez?

Je souris l'air de rien. Ce n'est pas que j'aime jouer la comédie mais je ne voulais pas ressembler a une victime et voir le visage de mes interlocuteurs désolé et surpassé par les révélations. J'avais donc prise la sale habitude de ne jamais rien dire quand tout allait mal. Jusqu'au jour ou peut-être j'aurais la chance de découvrir une personne digne de confiance. Mais sa n'allait pas être demain la veille que j'allais trouver cette personne!

mes doigts tapotèrent une autre chanson. Je sentais l'herbe caresser mes doigts a chaque effleurement. Le vent caressai mon visage, j'avais l'impression d'être toucher par des mains. Je ferma les yeux et un instant j'apperçu le visage de Monsieur Wakaouji. Mon coeur se mit a battre a tout rompt et mon souffle s'accèlera. J'ouvris immédiatement les yeux et vit que le professeur n'avait toujours pas bouger de sa place. Je soupira de soulagement, jusqu'au moment ou je vis qu'il avait remarquer ma crise de panique. Je me gratta nerveusement la tête.

-Désolée professeur... Je manque de sommeil ces derniers temps et comment dire?... Je perd a un peu la tête. Ce n'est pas ce que vous croyez... Ou pensée... De toute manière, cela veut dire exactement la même chose, pas vrai?!

Je me mise a rougir bêtement en pensent a ce que j'étais entrain de dire. Puis fini par me laisser tomber en arrière, fixant sans raison les nuages défiler et les pétales du cerisier d'en face tomber vers mon visage. Mes yeux commencèrent a se fermer et mon cerveau a somnoler et a dire des choses incohérente.

Elle passe une main dans ses cheveux avant de soupirer je demander a quoi ele pouvait bien penser en ce moment quand celle –ci pris la parole

-Je vois professeur. Oui, en effet.... Votre chanson est tellement émouvante qu'elle m'en a donné les larmes aux yeux. Vous êtes un excellent chanteur et guitariste. Vous savez?

Elle me sourie et commencer a tapoter l’herbe du bout des doigts .Je regarda le ciel et mis à repenser au temps ou j était guitariste et que avec mes deux ami on fonde notre groupe « route L » nos début fut difficile mais on avait finir par percer et notre avait connu ses année de célébrité jusqu'à que mes deux eu des accidents tragique ou j’avais quitté pendant des années le monde de la musique pour me consacre a la médecine et y avait peu de temps de repris la musique pour donner mon expérience a mes élèves.

Sortant brusquement de mes penser pour voir que la jeune fille avait fermé les yeux mais qu’elle continua de tapoter sur l’herbe quand elle rouvrir les yeux dans une panique puis soupira avant qu’elle remarque que je la fixais et qu’elle se gratte la tête et qu’elle me dise.

-Désolée professeur... Je manque de sommeil ces derniers temps et comment dire?... Je perd a un peu la tête. Ce n'est pas ce que vous croyez... Ou pensée... De toute manière, cela veut dire exactement la même chose, pas vrai?!

Elle se mis a rougir et s allongea sur le sol a fixa le ciel je pouvait remarquer que les pétales sur son visage et qu’elle commençait a endormir et a dire choses que je comprenais pas trop la laissant se reposer .Je sortir de la pochette de accrocher a l’étui de ma guitare et sortir un photo ou pouvait me voir plus jeune en compagnie du reste de groupe et la fixa un peu nostalgique de ses souvenir passer et les larmes commence a couler le long de mon visage sans que je puisse empêche de couler mais d’un coter je fessait rien pour les essuie non plus préférence vider mon sac avant de retrouver a l’école ou que la jeune fille se réveille.

Le vent avait changer de bruit. Je rêvais qu'une personne pleurait. Un bruit de papier m'étais parvenu. Je pensais réellement que je rêvais. Mais mon esprit vagabondait entre le vrai et le faux. Je rêvais mais entendait les bruits m'entourant. Une fois que je m'en rendis compte, mon rêve s'estompa de mes pensées. j'ouvris doucement les yeux car les pétales étaient flou et le ciel qui était claire me persécutais.

Je me redressa doucement en me frottant les yeux. Mon regard ainsi que mon geste se stoppèrent quand je vis le professeur verser des larmes. Il était là! En face de moi, pleurant devant une photo. mon coeur se serra et une impression de déjà vu amère ma parcourra le long de la colonne vertébrale. Je savais que mon geste allait être déplacer car il était plus âgé que moi, mais je ne voulais pas le laisser dans sa peine. Seul!

Je m'avança vers lui, les joues en feu par ce que j'allais faire. Puis le prit dans mes bras en répétant la même phrase, à voix basse. En chantonnant presque.

-Tout va bien se passer Monsieur, ne vous inquiètez pas. Etc...

Je lui caressa les cheveux en espérant qu'il n'ai pas honte ou ne me repousse pas violament. Ce n'était pas son genre, je ne le connaissait pas personnellement, c'est vrai. Mais cela se voyait sur son visage. Il me rappelait mon frère. Il pensait que je le voyait pas pleurer notre père, mais je le voyait tout le temps. Je ne lui disait rien, je me contentais de le regarder de loin. Sa peine me faisais mal, mais pour lui et ma mère je gardais le sourire. Pour ne pas les rendre plus triste qu'ils l'étaient déjà. Même ci je voulais le rassuré et le prendre dans mes bras, je n'avais jamais oser, par peur de le faire pleurer plus. J'avais été peureuse et l'avait laisser seul dans son malheur. Je ne voulais pas refaire la même erreur dans le futur. Pour cela que je mise ma peur de coté pour ne pas le voir pleurer seul. Je voulais rattraper mon passé avec le professeur.

Alors que je pleurai toujours me calmant peu a peu au fur a mesure que les larmes coulaient .Il allait dire que pleuré fessait un bien sa permettais de vider son sac et repartir comme si rien c’était passer et je commençais à sécher mes larmes et alors que j’allais ranger soignaient mon seule souvenir que j’avais gardé de mon groupe quand je sentis des bras me serrer contre eux et j entendis une voix mumuré tres bas voir presque chantonner.

-Tout va bien se passer Monsieur, ne vous inquiétez pas. Etc...

Je regardais la personne c’était la jeune Kotori qui était à me rassurer et me consoler a me caresse les cheveux le fait qu’elle dépasser la statue prof/élèves mit fit chaud au cœur peu de personne prenait en considération ces choses qui peuvent être anodin pour certain et important pour d autre et je la vit pleuré a son tour et il prit a mon tour dans mes bras la serrant contre moi et je lui dis.

-Pourquoi pleure vous Melle Kotori c’est moi qui vous fait pleure je m excuse

Je la lâcha doucement et pris la guitare et joue un air qui m était si familiers que je jouait les yeux fermer et commence a chanter les larmes coulant toujours sur mon visage et quand elle fut fini je fixait Kotori avec un sourie au lèvres.

(la musique https://www.youtube.com/watch?v=99dYO7psKK4 )

Quand il me demanda pourquoi je pleurais, je sentie le feu me monter aux joues. J'étais honteuse! Je n'avais pas le droit de tenter de rattraper le passé. Je devais changer, pour ne pas qu'il me rattrape. Oublier ces épisodes horrible de ma vie. Mais devais-je réellement oublier que la famille de mon père était a mes trousses? Allait-ils un jour finir par me retrouver? Si j'oubliais mon passé, cela voudrait dire que j'oublie également ma famille. Je n'en avais pas le droit!

Ma voix ne voulait pas sortir de ma bouche, j'avais envie d'un bon chocolat chaud. Et de chanter cette chanson. Cette magnifique chanson! Je l'écouta chanter, me mettent sur mes genoux, observant ces larmes couler le long de ces joues. Puis il arrêta de jouer et me regarda, un sourire aux lèvres. Un immense "Boum!" résonna dans mon coeur avant qu'il s'arrête quelques secondes. Je reprise tant bien que mal mon souffle.

Je n'avais jamais ressentie cela auparavant. Je le fixa quelques secondes, perplexe. Puis fini par finalement lui répondre.

-On va dire que je tente de chasser les démons du passé, qui subsistent encore dans mon présent et certainement dans mon futur. Je sais pas si tout les professeurs sont au courant du passé des élèves. Je sais pas non plu si ma mère vous a tout dit avant de se faire...

Je me tue un instant. J'en avais déjà trop dit!

-Enfin bon, passons. Puis-je vous faire découvrir une chanson?

Alors que j’avais fini la chanson je remarquai que la jeune fille a mes coter été comme subjuguer par ce qui venait de passait quand je l’entendis reprendre son souffle et me dire

-On va dire que je tente de chasser les démons du passé, qui subsistent encore dans mon présent et certainement dans mon futur. Je ne sais pas si tous les professeurs sont au courant du passé des élèves. Je ne sais pas non plu si ma mère vous a tout dit avant de se faire...

Elle se tu avant de dire la fin de phrase et rajouta

-Enfin bon, passons. Puis-je vous faire découvrir une chanson?

Je me leva et m étira de tout mon long et regarda le ciel sans rien dire. Elle parlait de démon du passé moi aussi j été en quelque sort prisonnier, Je fermai les yeux et pris une grande respiration lui dit.

-Non on ne connait la passer de nous élèves et on les accepter telle qu’ils sont leur passé on n’intéresse pas mais je peux vous dire une chose on doit accepté notre passé afin d’en ressortir plus fort et Oui je veux entendre votre chanson.

Apres mes parole j’allai m appuie contre l’arbre et la fixa toujours avec un sourie aux levers et attendis qu’elle son courage a deux main comme on dit qu’elle se mette a chanter, et je me dit que ca sera une chose afin d’évaluer son niveau en musique

Ce qui était sur, c'est que je venais de révéler mon passer... Du moins, une minuscule partie. Mais s'en était déjà trop. Je ne connaissais pas le professeur, je savais qu'il chantait bien et qu'il jouait bien, mais a part cela. Rien! C'était bizarre d'ailleurs. Je parlais avec des inconnus. Des personnes qui doivent certainement se fiche de moi. Pourtant, je ne pouvais me résigner a les ignorer. Je n'avais plu de bouées de sauvetage. Elles était toutes percées. La seule solution qu'il me restais à présent, était une planche de bois dur et froide. Et je devais faire avec pour ma survie. C'était soit cela, soit je partais errer dans la nature, sans grand espoir de survivre. Et avec la famille de mon père a mes trousses... Dur d'envisager de partir.

Au moins, personnes ne connaissais ma vie. Et je pourrais le dire aux personnes qui m'inspire confiance quand je le souhaiterais! Et seulement a ce moment là. Je n'aime pas en réalité qu'on sache tout de moi. Sa me faisais peur! Je ne voulais pas salir la mémoire de ma famille défunte. Je ne voulais pas non plu devenir une victime.

Les paroles de Kei-sensei me fis chaud au coeur. Il n'avait pas tord. Ma mère me le disais sans cesse. Les grandes personnes disait cela par rapport a leur histoire, non? Parce qu'eux aussi, ont été blesser. Et le seront certainement toujours, comme moi, ou les autres personnes de mon âge. Car les blessures les plus terribles arrive a l'adolescence. Et personne ne peut me contre-dire. Avant de me lancer dans mon chant, je lui répondit en tentent de garder une voix sereine.

-Vous n'avez pas tord Kei-sensei. A vrai dire, tout savoir sur une personne n'est peut-être pas raisonnable. Car vous verriez vos élèves d'une tout autre manière! Merci professeur pour votre écoute.

Je lui sourit, et commença ma chanson. Je me laissa complètement emporter. Mes doigts tapotèrent ma cuisse. Je ne voulais pas fermer les yeux, de peur de me rappeler de mauvais souvenirs et de faire une fausse note. Je haissais les fausses notes!

-Vous n'avez pas tord Kei-sensei. A vrai dire, tout savoir sur une personne n'est peut-être pas raisonnable. Car vous verriez vos élèves d'une tout autre manière! Merci professeur pour votre écoute.

Elle me sourie et commença a chanter on pouvait voir qu’elle battait la mesure sur sa cuisse elle semblai comme envouter par ce qu’elle chantait et pourtant elle gardait les yeux bien ouvert comme si elle peur de quelque chose ou de ce qui pourrai lui arriver si elle, quand a moi ben je fermais les yeux et laisse mes oreille écoute a place de mes yeux et ce que j’entendais était une magnifique musique qu’elle chantais en fessant attention a bien garder ses note même les plus haute on pouvait voir qu’elle beaucoup travail pour arriver a ce niveau. Je continuai à l’écoute j’ete comme plonger dans son univers mais aussi toucher pas la chanson et quand celle-ci fut fini je l applaudis et lui.

-Bravo Melle Kotori vous chanter très bien on voit que vous vous beaucoup travail cette chanson car on peut ressentir tout plein d émotions ce qui la rendre tout bonnement manifique.

Je lui sourie encore ému par la chanson.

Tandis que je fixai un point de mon horizon, Kei-sensei ferma lui, ces yeux. C'est vrai que pour juger la voix d'une personne, mieux valait ouvrir ces oreilles et fermer toutes autres sources dérangeante. Je comprenais cela, mais moi, pour pouvoir me concentrer, j'étais obliger de fixer un point. Sinon, tout viendrait chambouler mes cordes vocales ainsi que mon cerveau.

Quand la dernière note sonna dans mes tympans, j'entendis le professeur m'applaudir. Je tourna ma tête vers lui immédiatement et rougit d'un seul coup. Je fis une courbette. Il n'avait pas tord, j'ai beaucoup travailler pour que ma voix porte bien et que mes cordes vocales ne subisse pas de fatigue.


Cette chanson me rappel ma famille. Les seuls confident que j'ai eu dans ma vie et qu'on ma voler d'un coup, violement! Mais je devais faire mon possible pour penser à mon avenir. Je connais ma famille, ils sont si gentils et honorables. Je voudrais devenir une femme accomplie comme ma mère. Aussi forte qu'elle et déterminer! Mais avant de devenir une femme accomplie, je devais profiter de mon adolescence. En sortant avec des garçons, faire la fête, étudier et tout d'abord. Avoir des amis! Ma nouvelle vie a commencer il y a maintenant des semaines et je n'ai encore rien fait de tout cela. A part me morfondre de mon sort!

Je regarda le professeur et me leva d'un seul coup. Un rayon de soleil avait réussit a se frayer un passage auprès des nuages gris. Un sourire éclatant se dessina sur mes lèvres et je tendis ma main à Kei-sensei.

-Monsieur, merci de tout vos compliments. Maintenant que nous nous sommes montrer mutuellement nos qualités de chanteur/musiciens. J'aimerais me balader, pouvez vous m'accorder votre après-midi?

Je souriais toujours. Je venais de comprendre les mots de ma mère. Ces mots rempli d'espoir et d'amour. Je devais faire comme tout ceux de mon âge. Sans pour autant oublier mon identité et mon histoire. Car, je ne serais jamais comme les autres mais je peux tout autant m'amuser comme eux.

Alors que le silence c’est impose entre nous âpres la dernière note on pouvait voir que les gens nous fixait un moment avant de repartir et les rayons de soleil qui avait était par un passage nuage revient montre le bout de son nez et vient éclaire l’endroit ou on s était poser et Soudain Kotori se lève et avec un grand sourie aux levers elle me tendit la main et me dit.

-Monsieur, merci de tous vos compliments. Maintenant que nous nous sommes montré mutuellement nos qualités de chanteur/musiciens. J'aimerais me balader, pouvez vous m'accorder votre après-midi?

Je lui sourie et me tourna pour ranger ma guitare et ainsi que la photo et je me relevai an essayant l’herbe sur mes fesses et recala sur mon épaule et commença a ma diriger vers Kotori et lui pris la main et doucement je commençai à marcher en sachant ou aller je lui dis.

-Et vous vous aller ou mademoiselle ??

Je lui sourie continuant a marcher en attendant que Kotori ma réponde.

Jamais, au grand jamais je n'aurais penser que le professeur accepterait ma main. Seulement pour la balade, je ne pense pas à autre chose.... Je sais faire la différence, je n'étais qu'une enfant a ces yeux. Puis, nous n'étions pas à l'académie, j'avais alors le droit de dire ou faire ce que je voulais avec lui en ce moment même, n'est-ce pas? C'était certes un professeur mais c'est avant tout un humain. un homme! Qui ne rêverait pas d'être a ma place en ce moment même? Je me le demandais bien. Les jalouses certainement ou alors, celle qui ont déjà un homme a aimer. Mais bon, le regard des autres ne m'inspirais guère.

Il me demanda ou je souhaitais aller. Vu le temps changeant que nous avions, autant aller à la boulangerie de la ville manger et boire une bonne boisson chaude.C'était moins chère qu'un restaurant et beaucoup plus tranquille. A vrai dire, j'aime bien manger les pâtisseries françaises, elles sont sucrés et bourrative. Ainsi, je pourrais attendre tranquillement la cantine du soir. De toute manière, il n'y avait pas grand choses d'autres à faire. Du moins, si nous ne voulions pas tomber sur d'autres personnes de l'académie. Je ne voulais pas causer des problèmes à Keiichi. Il est tellement sympathique et agréable.

-Je vous propose la boulangerie? Ma mère m'a dit que leurs pâtisseries étaient tout bonnement excellente par ici.

Ma main serra un peu plus la sienne dans la mienne. J'avais l'impression de parler avec une personne de mon âge. Avec ces longs cheveux dorés attacher en queue de cheval et ces yeux en amandes. Je ne sais pas pourquoi je me mise a le détailler de nouveau, son visage au dessus du miens me donnais une autre vision de lui. une vision plus proche de moi que la précédente. J'avais envie de m'arrêter de marcher, rester ainsi, figer. Comme ci nous étions une simple photographie. En parlant de photographie, y avait-il une boutique d'appareil photo dans le coin? Je détourna les yeux et lui posa la question. Je ne voulais pas qu'il s'aperçoive de mon regard poser sur lui, il était trop mielleux a mon gout.

-Keiichi-kun, y a t il un magasin d'appareil photo dans le coin? J'aimerais m'en offrir un et comme je ne connais pas réellement la ville, je voudrais savoir.

Alors que je venais de lui prendre la main de façon naturelle et non calculer de ma part car malgré qu’il ait toujours ce côte professeur/élèves qui persistais entre nous j’essayais d’en faire extraction pour une fois car avec cette jeune fille tout semblais différent les vision de choses semblais différent et bizarrement m’attirais vers elle mais il fallait que je fasses attention aussi au faite que j’été plus âgée qu’elle et que en cours je ne devait pas lui monterai plus d’égard que autres élèves si je voulait éveiller les soupçons. C’est fut la voix de Kotori qui me sortir de mes penser.

-Je vous propose la boulangerie? Ma mère m'a dit que leurs pâtisseries étaient tout bonnement excellentes par ici.

Je savais ou se trouvais cette boulangerie donc elle parlait il fessait de délicieux pâtisserie français plein de sucre idéale pour tout sorte de maladie. Je me mis a sourie car voila mes instinct de médecin qui revenait, il vrais que j’avais pas mal de temps en temps médecin et choses ne s’oublie pas comme ca. Du coin du regarder je pouvais voir Kotori m’observer d’un regarde plein de tendresse ce qui me fit chaud au cœur mais très vite elle détourna le regarde et me dis.

-Keiichi-kun, y a t il un magasin d'appareil photo dans le coin? J'aimerais m'en offrir un et comme je ne connais pas réellement la ville, je voudrais savoir.

Je me mis a réfléchir si dans le coin il avait un magasin vendant des appareils photos et âpres quelque minute a cogiter je me rappelais d’un non loin de la boulangerie et je mis dirigeais en lui disant.

-Si y en pas loin je vais vous montrer.

Je lui sourie et doucement je mis continua de marcher jusqu’au magasin et la je m arrêta le temps qu’elle fait ce qu’elle voulait faire.