Edward/Asami Elric

Edward Elric, c'est le nom que j'ai reçu à ma naissance, j'avais la chance d'avoir une mère magnifique, elle faisait parti de ceux dont les fils pouvaient affirmer sans honte "quand je serais grand, je me marierai avec maman". Elle portait le magnifique prénom de Trisha et était une femme de taille bien normale, au teint aussi pâle que la porcelaine, aux longs cheveux châtains clairs qui passaient au dessus de son épaule et aux yeux bleus-verts, comme deux grand lac à l'eau si froide qui si l'envie venait de s'y baigner, nous n'y resterions pas. Elle était toujours souriante et aimable, aimait rendre service et apprendre à son fils, ou plutôt à ses fils, qu'il fallait faire de même. Oui, j'ai bien dis à ses fils! Car j'étais à peine âgé d'un an quand ma mère donna naissance à un autre enfant: mon petit frère: Alphonse Elric. Alphonse et moi vivions heureux dans notre petit village natal, tout le monde nous y connaissait. Mais un jour, je tomba gravement malade, à l'époque je devais bien avoir douze ans. Ma mère, folle d’inquiétude, s’efforçait de sourire quand elle me rendait visite l'hôpital. Les médecins ne cessaient de se tromper de traitement et je resta un an à l'hôpital, quand je pu enfin en sortir, on m’annonça que ma mère étais morte d'une soudaine crise cardiaque et que nous devions déménager car les frais d'hôpital étaient si chers que nous devions vendre la maison pour financer cela. Nous dûmes aller vivre dans un immeuble construit à la sortie du village, mais nous n'en étions pas plus malheureux bien que notre vie était désagréable dans notre appartement miteux.

Mon dernier souvenir de ma vie en tant qu'Edward, c'était cette conversation que nous avions tenus moi et le vieux croûton débile qui me sert de père. Nous étions seuls dans la cuisine, mon petit frère dormait. Alors que j'était en train de me gaver de céréales coco pops, mon père avait frappé sur la table, il avait l'air très en collère.
<< Comment tu peux manger dans des moments pareils alors qu'une balle peut t'atteindre à n'importe quel moment! >> Avait il crié en fermant la fenêtre devant laquelle je me tenais, par pure insolence.
<< Je veux mourir le ventre plein. >> Lui avais-je lancé avec un sourire ironique tout en haussant les épaules.
<< Tu ne dois pas mourir! Nous devons trouver une solution pour éviter cela. >>
Moi je pensais que c'était une éventualité et que cela arrivait à tout le monde à un moment donné! Mon père, lui, accordait un grand intérêt à ma survie! Comme c'est futile! Le vieux épluchait le courrier, il tomba sur un dépliant, une académie pour fille, cela le fit sourire, avec cet air qui veut tout dire, je contempla le dépliant, les photos étaient plus jolies que notre appartement miteux mais je ne me travestirai JAMAIS!
<< Là tu rêves! Je préfères crever! >> Avais-je hurlé.
<< Tait-toi! Tu vas réveiller Alphonse! Tu dois survivre! Il faut que tu le fasses! >>
Mon frère entra dans la cuisine à son tour, se frottant les yeux et constatant que nous avions trouver un moyen pour empêchée ma mort qui était certaine aux yeux de tous. Il avait l'air heureux de cela, je ne pouvais résister au sourire de mon frère. Après des longues étapes je suis maintenant Asami Elric, mais comment en suis-je arrivée là? Pourquoi ma mort était elle certaine? Il doit me rester des lignes à faire alors je vous raconte!

Tout avait commencé à l'annonce d'une terrible nouvelle, terrible pour moi mais vous, cela vous aurai sûrement fait plaisir: le moins que rien Edward Elric allait devenir riche. Dans la ville où je vivais il y avais un manoir dans lequel vivait une vieille femme extrêmement riche, elle cherchait un héritier depuis de longues années et un jours je lui avais sauvé la vie sans le vouloir, alors que je sortais de l'épicerie, un homme y entrait, je l'avais bousculé et son revolver était tombé. J'avais ramassé l'objet et était entré à nouveau dans le magasin. Là, il était sur le point de voler l'argent de la riche doyenne, quand il voulut sortir son revolver... Il ne l'avait plus! Juste pour cette raison, j'hériterai de son argent à sa mort. Le jour où on me demanda à qui reviendrai l'argent si je mourrais avant de le recevoir, je fis la plus grosse boulette de ma vie en répondant: "à mon assassin!" Voila comment je fut contraint de devenir une fillette... --' Je du me faire passer pour mort et venir ici... En fait c'est le bordel! Les geeks que mon immeubles forcèrent les fichiers et créèrent l'identité de "Asami ELRIC" et cela devint mon nouveau nom.